L’homme représente le summum de l’expression de la volonté de domination, de l’instinct de survie.
Dès lors, contrairement à ce que l’on peut entendre régulièrement, l’homme n’est pas une abomination de la nature, mais plutôt ce qu’elle a fait de plus abouti, dans l’expression du conatus de Spinoza.
Dire que l’homme détruit la nature devrait mener à dire que les fourmis le font également, ainsi que toute espèce qui la transforme pour préserver ses conditions de vie.
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